✝ Polymnie ; amer et illusoire.
| Sujet: Où ça du Nutella : D ? Sam 28 Aoû - 22:50 | |
| FICHE LITTERAIRE DE Crêpe « Le masochisme est une perversion absurde qui consiste à se faire du mal à soi - même, alors qu'il y a les autres pour cela. » Georges-Armand Masson .
| | ■ Crédits ; Photographies par moi. Pas touche. Vignette by unknow. ■ Pseudo ; Crêpe. En somme. ■ Prénom ; Red Bull. Je donne des aiiiiles ~ ■ Age ; Quatorze. ■ Genre ; Féminin. Tududu ~ ■ Cycle ; Rentrée en troisième. ■ Localisation ;Hey. In Belgium (: ■ Fonctionnalité ; Écrivain. ■ Découverte du forum ; Pubbeuse Champi ~ ■ Bons points ; J'ai immédiatement accroché au design (: ■ Mauvais points ; // ■ Autre ; Du Nutella ? OU ÇA *__* ? ■ Code ; Le champignon qui parle valide le code de la crêpe au nutella qui lui répond XD.
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✗ Livres préférés ; Le Petit Prince 8). Y'en a pas d'autres qui me viennent à l'esprit o_ô.
✗ Artistes préférés ; Bwahaha. MIKA, The Cramberries, The Hoosiers, The Beatles, Avril Lavigne, Anti - Flag, Forever Young ( ils ont des voix d'aaanges *__* ), Calogero, Coldplay, Muse, Eagle Eye Cherry, Fall out Boy, Greenday, Nirvana, Oasis, Sum 41, U2, 30 Seconds to Mars, & Pis voilà hein ... J'vais pas tous les mettre (:
✗ Films préférés ; Alice in Wonderland \o/ A vrai dire, j'en ai regardé tellement peu que c'est le seul récent que j'ai vraiment bien aimé ... x ).
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✶ Un de vos textes ;
- Spoiler:
C'est pour vous que j'écris ça. Parce que j'ai peur que vous ne compreniez pas. Que vous ne compreniez pas mon acte. C'est à cause de tous ces mois. Ces mois que j'ai enduré. Fier petit soldat qui a enduré toutes les épreuves. Sans jamais broncher. Le soldat avait une ligne de conduite. Plus pleurer. Non, plus jamais. Ce n'est pas contre moi - même que j'en ai. Non, je dois dire que je m'aime assez. Même beaucoup. Non, ce n'est pas moi qui me déteste. C'est les autres. Je me trouve plutôt jolie, même. Les autres, eux, ne vont pas contre cet avis. Mais pourquoi me prennent - ils pour le parfait bouc - émissaire ? Je ne saurais vous répondre.
Ce que j'ai toujours détesté chez vous, c'est votre aptitude à ne pas me comprendre. A ne pas voir les signaux flagrants que je vous ai envoyé. Je n'ai pas compris. Pas du tout. Et vous me donniez des faux espoirs, sans jamais savoir que j'avais mal dès que vous les brisiez. Alors j'ai perdu espoir. Parce que j'en avais marre. Marre de tout. Marre d'avoir des rêves. Des espoirs. Marre de croire en des choses que vous brisez. Chaque fois, mon petit monde idyllique s'écroulait. Quand quelque chose que moi je trouvais pas raisonnable, toi tu m'as demandé si ça l'était, j'ai hésité. Puis, à quoi bon vous faire face ? Vous êtes cons, c'est tout. Je ne peux vous faire avoir raison. La raison du plus fort est toujours la meilleure. Et j'en ai ma claque de cette règle. Parce que je suis toujours la plus faible.
Et je volais. Et je volais. Mais putain pourquoi je volais ?! Pourquoi je volais alors que je sais que de toutes manières, j'étais sûre de retomber ? ... Pourquoi je volais ... ? Je m'accrochait à la dernière parcelle de ciel bleu. Ce morceau azur que jamais encore quelconque sentiment n'avait pu entacher. Qu'était - ce ? C'était l'espoir. L'espoir de se faire accepter par ce monde qui ne garde que celui qui réussit à s'imposer. Mais pas pour celui qui se bat, et qui se bat. Mais qui jamais ne gagne. Il me reste dans la gorge une sorte d'amertume. Vous la sentez, vous aussi ? Je sais ce que c'est. C'est l'amertume de la défaite. Oui, vous avez perdu. Vous m'avez perdue. Parce que vous étiez, sourds, aveugles, et par - dessus tout vous ne faisiez pas assez attention. Vous avez cru me cerner, me consoler. Vous aviez faux. Je croyais qu'on apprenais de ces erreurs. Je crois que c'est vrai, en fait. Vous apprendrez, mes chers. Vous apprendrez.
J'ai fais mon petit bonhomme de chemin, dans le ciel étincelant de l'enfance. Mais il ne fut entièrement envahit par la lumière que quelques courts instants. Dès que je fus en seconde section de maternelle, tout s'empourpra, et le noir se répandit comme une gangrène qui vous ronge au plus profond de vous - même. Oui, depuis que je suis toute petite, je suis rongée de l'intérieur. Et vous n'avez rien vu. Non jamais. Peut - être quelques fois, où j'extériorisais ma tristesse et ma détresse de façon évidente. Et encore j'appuie sur ce " peut - être ". Et je ris. Je ris de vous. Vous qui n'avez rien vu, et qui lisez ça d'un air ébahit. Vous avez les larmes aux yeux, hein ? J'ai souvent eu les larmes aux yeux. Alors pleurez, maintenant, pleurez ! Pleurez toutes les larmes de votre corps, pleurez comme je n'ai jamais su le faire ! Pleurez pour moi, votre propre fille.
Votre propre fille qui s'est suicidée, s'est sectionné les veines en organisant tout d'une manière scrupuleusement précise. Votre fille qui avait planifié jusqu'aux imprévus.
Vous lisez cela, et vous imaginez mon corps inanimé. Ce doit être le cas, très certainement. Je suis partie dans ma chambre. Et j'ai mis de la musique. Je ne voulais pas mourir sur quelque chose que je haïssais. J'ai aussi prévu ça. Et puis j'ai bien nettoyé la lame. Enfin, par après ma mort. Vous le ferez à ma place, j'espère.
Votre fille, qui s'est suicidée et qui est morte à l'heure qu'il est. Bonne vie.
A la suite de cette lettre, les parents de la jeune fille montèrent dans sa chambre. La mère de l'adolescente hurla d'effrois. Sa fille était allongée sur le lit, une attitude crispée sur le visage. Mais elle souriait. Et c'était encore plus affreux. Le père retenait ses larmes, le visage tourné vers le sens opposé de la vision d'horreur. Et il écoutait. Il écoutait la musique. Il reconnu l'air. Il identifia les paroles, et dans sa tête il entendait en boucle la mélodie, même si elle s'était arrêtée.
Save tonight, And fight the break of dawn Come Tomorrow Tomorrow I'll be gone ... Tomorrow I'll be gone ...
✶ Auto évaluation ; Alors. J'ai commencé à écrire ce truc - là il y a longtemps déjà (: Je l'ai terminé il y a peu, mais je l'aime beaucoup. Je l'affectionne particulièrement parce qu'il est bien rédigé, et qu'il dégage beaucoup d'émotions. D'un autre côté, j'ai l'impression qu'il y a des sentiments contradictoires entre eux qui se côtoient. Au début, elle est triste, mais vers la fin on sent qu'elle jubile d'en finir. Je prends ça comme une " libération ", et plus sont les mots qu'elle écrits, mieux elle se porte. J'expliquerais ce sentiment de jubilation vers la fin de cette manière.
✶ Une de vos poésies ;
- Spoiler:
Tududu.
✶ Auto évaluation ; //
Dernière édition par Crêpe _ ♪ le Dim 29 Aoû - 18:32, édité 4 fois |
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♡ Thalie ; frais et éphémère.
| Sujet: Re: Où ça du Nutella : D ? Dim 29 Aoû - 12:19 | |
| Crêêêêêpeuh au Nutellaaaaa <3 Welcome. |
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♬ Calliope ; beau et parfait.
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✝ Polymnie ; amer et illusoire.
| Sujet: Re: Où ça du Nutella : D ? Dim 29 Aoû - 17:23 | |
| Bienvenue à toi =D En ce qui concerne ton niveau, nous avons réfléchi avec Champi, et tu seras Hyperbole, mais je pense que tu n'auras aucun mal à passer Litote, en progressant un peu. ^^ Bonne journée et amuse-toi bien sur Euphemism !
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♬ Calliope ; beau et parfait.
| Sujet: Re: Où ça du Nutella : D ? Dim 29 Aoû - 17:55 | |
| Il te manque l'image 100x100 et tu seras validée |
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✝ Polymnie ; amer et illusoire.
| Sujet: Re: Où ça du Nutella : D ? Dim 29 Aoû - 18:42 | |
| La voilà l'image (: Mes hébergeurs voulaient pas me mettre mon chat en 100 x 100, alors bon j'ai changé ;__; Mr. Game & Watch x ). |
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♬ Calliope ; beau et parfait.
| Sujet: Re: Où ça du Nutella : D ? Dim 29 Aoû - 19:14 | |
| Je te valiiiiide. |
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| Sujet: Re: Où ça du Nutella : D ? | |
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