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 Sucrette ♣

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AuteurMessage
S u c r e t t e


S u c r e t t e

    Messages : 1



    Sucrette ♣ _
    MessageSujet: Sucrette ♣   Sucrette ♣ Icon_minitimeSam 10 Juil - 11:42


      O n e ; who are you ?

      PUF; S u c r e t t e
      Âge; 16 ans
      Fille ? Garçon ?; Fille (:
      Code; Okayyyyy


      T w o ; your tastes

      Vos livres préférés; Je ne lis pas énormément les seuls livres que je lis sont du Célèbre Stephen King : Cujo , La petite fille qui aimait Tom Gordon, Simetierre, ça.
      Vos artistes préférés; Alors, alors en tout premier je citerais Jared Leto, une musique fantastique, un acteur que j'adore. Bref, la totale quoi. Puis aussi il y a tous les autres chanteurs de mes groupes préférés comme Noir Désir, Snow Patrol, Coldplay...
      Vos films préférés; Il y en a des tas. Je mettrais en première position Into the Wild, puis je verrais bien l'effet Papillon, où encore même M. Nobody, Avatar et le légendaire Jour d'Aprés.


      T h r e e ; and you ? A little autor

      Un de vos textes; Ce texte n'a pas encore de fin pour l'instant.

      Kiersten avait grandi. Elle était devenue cette femme, comme les autres, une campagnarde soumise aux ordres de son mari. On ne pouvait pas la définir comme heureuse. Elle ne se souvenait même plus du goût de la liberté. C'était un hiver froid, la neige était tombée comme jamais cette nuit là. Par la fenêtre on ne pouvait pas y voir plus loin que le bout de son nez. Assise devant le carreau à fixer la poudreuse, le parquet craquait sous son poids, seul bruit présent dans la pièce. On pouvait lire sur son visage pâle, par le manque de lumière, une certaine tristesse. Son mari n'était pas toujours doux et son seul réconfort était son fils, Sean elle l'avait eu à 19 ans, jeune et insousciante elle avait accepté, aveuglée par l'amour de jurer fidélité et amour à son homme et ce jusqu'à la fin de sa vie. Kiersten tenait en sa main gauche une croix, celle de sa mère. Soudain, la jeune femme s'était mise à la serrer d'avantage dans la paume de sa main, elle l'avait fait sans s'en rendre compte. Un grincement de porte avait été le seul signal pour prévenir l'arrivée quelque peu mouvementée de Jayden. La FEMME s'était retournée avec un faux sourire dessiné sur ses lèvres. Quant à lui, il avait un visage crispé et les yeux rouges. Il avait bu, comme souvent. L'HOMME s'approcha de la FEMME pour lui caresser la joue. Il lui murmurra quelques mots incompréhensible la seule chose qu'elle avait retenue était cette haleine de vin mélangée à l'odeur acide du vinaigre. « Lâche-moi ! » Une gifle claqua violemment sur la joue de Jayden. Les yeux rouges et ronds, c'était la première fois qu'elle avait eu le courage de se rebeller, la première fois qu'une femme osait lever la main sur son HOMME. D'abord déboussolé, la bouche entre ouverte, la mari recula d'un pas pour poser sa main sur sa joue rouge et chaude, il fixa sa femme, qui avait les larmes aux yeux. Elle pouvait bien s'excuser, celà n'arrangerait en rien les choses, malheureusement. Le silence de la pièce était soudainement devenu un énorme brouhaha avec une atmosphère pesante qui flottait dans l'air. Bouffé par la rage, assomée par la peur, ce mélange faisait qu'à eux-deux ils furent un bruit comme si du bétail tentait de s'échaper de son enclot. Un bruit qui réveilla, au premier étage leur enfant. Se souvenaient-ils seulement s'ils avaient un enfant ? La violence qui s'irradiait de cette pièce ne devait être vu par personne, encore moins par les yeux d'un gosse de 9 ans. La porte ouverte, le petit ne trouva autre solution que de rester telle une statut à fixer son père battre sa mère, et même si celà ne changeait pas du quotidien, cette fois restait la plus violente. L'un des deux tomba à terre, l'un des deux était mort. « Oh mon dieu ! Oh mon dieu ! » s'écriait-elle, le souffle coupé à fixer le corps gisant de son mari sur le sol. La seule force qu'il lui restait était celle de pleurer. En ce jour d'hivers, pour la première fois dans cette campagne, la neige avait recouvert le paysage au point de l'étouffer. En ce jour d'hivers, pour la première fois dans cette campagne, une FEMME avait tué son HOMME sous le regard de l'ENFANT. « Maman ! » lorsque cette voix résonna dans le lieu du crime un autre Oh Mon Dieu ! avait brisé l'air. Kiersten avait prit son enfant contre elle et avait pleuré d'avantage. La seule que le petit espérait était des explications, car oui, il ne comprenait pas, il ne comprenait plus, mis à part le fait qu'il avait perdu son père. Chamboulé Sean fixa longuement sa mère, à la recherche de réponse, l'ENFANT posa son front contre celui de la FEMME.

      « On fait quoi maintenant ? » sa voix était innocente, douce au milieu de cet endroit macabre.
      « J'ai besoin de ton aide. » la voix tremblotante de sa mère se brisa dans l'air. « On va le mettre à la cave. J'attrape les pieds et toi la tête. »
      « M'man » mais il n'eu pas la force, ni même l'envie de refuser les ordres de sa mère.

      C'est pourquoi il l'avait fait, sans rien dire. Au début Sean avait eu du mal à ouvrir les yeux, voir le regard si ... vide de son père l'avait térorrisé. L'ascension jusqu'à la cave lui avait semblé être éternité. Dans les escaliers, le gosse avait baissé la tête pour poser son regard sur son entre jambe. Oui il avait senti couler un liquide chaud. Pendant les premières secondes son esprit s'était écrié - Merde je me suis pissé dessus ! -, la peur nous fait parfois faire des choses que l'on ne veut pas. Et pourtant, non il n'avait pas uriné dans son slip, c'était le sang de son père qui avait coulé sur son pyjama. Lorsque le corps avait été posé sur le froid de la cave, celà avait été comme une libération pour l'ENFANT qui trouvait insoutenable le fait de tenir dans ses mains la pire connerie qu'avait faite sa mère. Sans attendre, il avait dévalé les escaliers pour retourner dans sa chambre où il s'était changé. Il n'avait pas pleuré, à la plus grande surprise de sa mère. La porte de sa chambre s'ouvrit, si on pouvait appelé celà une chambre étant donné l'état dans lequel elle était. Des rideaux déchirés, un lit une place dont les draps tombaient en lambeau et la moisissure encrassait les murs. Kiersten avait trouvé bon de venir voir son fils. Elle tenait à la main son sac, qu'elle prenait uniquement lors des sorties en ville, ce qui était rare.

      « Je te demanderais une seule chose Sean. Dans toutes les circonstances, ne dévoile jamais ce que tu as vu, tu m'entends ? JAMAIS ! » dit-elle avec inquiêtude.
      « Oui Maman. » avait-il dit sagement sans même poser de questions.
      « Suis-moi, je t'amène quelque part où tu seras en sécurité. » elle avait attrapé son fils par la main pour le guider.
      « J'veux aller nulle part ! » « Arrête tes bêtises merde ! Avance ! » « Que si tu me dis que tu reviendras me chercher. » « Mais oui... » « Promets-le. » elle s'était arrêtée pour le fixer longuement avant de lui caresser la joue. « Je te le promets. »

      En tant qu'ENFANT il avait sans hésité gobé les mensonges, les beaux mensonges de sa mère. En ce jour de neige ils avaient bravé la tempête à pieds et une fois à la ville la plus proche, en vieu taxi il s'était retrouvé chez cette femme, étrangement pâle et bizarre. Kiersten avait supplié cette Appoline de garder son enfant une heure simplement. Et pourtant, aprés 4 H00 de silence elle n'était pas là. L'enfant de 9 ans n'avait pas trouvé la force, ni-même l'envie d'adresser la parole à cette femme au regard de glace. Sean passa la nuit sur une paillase prés du feu, pendant cette nuit ses paupières ne trouvèrent pas le courage de se fermer car, lorsqu'il était plongé dans le noir l'odeur du sang venait étouffer ses narines et les images de son père l'effrayaient.

      [...]

      Sean vivait dans un petit studiot proche de celui d'Appoline. On ne pouvait pas dire qu'il avait été brillant à l'école, il passait son temps à se faire taper sur les doigts par manque de travail mais la douleur n'avait pas suffit à le faire travailler d'avantage il était donc menuisier et travaillait avec un viel homme. Il avait mit plus d'un an à se faire à sa nouvelle vie, celle où il devait vivre avec une parfaite inconnue, celle où il n'avait plus aucun repère. Et pourtant, par obligation il s'y était fait. Sean avait 29 ans, approchait la trentaire. Il marchait sur un vieu chemin de terre, la sueur dégoulinait son son visage et il hurlait, tout seul. « Je suis pas fou ! MERDE ! » A ce moment là il avait tapé violemment dans un cailloux à l'aide d'un coup de pieds. C'était un dimanche et en ce jour de repos Sean avait décidé de s'isoler pour réfléchir. Trop ce choses autour de lui qui ne trounaient pas rond. Will était assit sur l'herbe, sêchée par l'été. Il murmurrait des phrases.

      « Elle m'a toujours dit qu'elle n'aimait pas le soleil... elle ne mange pas de légume. Souvent la nuit elle partait et je la revoyais qu'au petit matin avec ses lèvres rouges. Un jour elle m'a dit qu'elle aimerait faire de moi un vrai danger, même si elle m'a dit qu'elle plaisantait, j'y crois pas. » il marquait alors une pause pour s'essuyer la transpiration du front avant de continuer. « Appoline n'est pas humaine. » conclut-il à voix haute. « Pff, mais j'raconte des conneries. » il avait levé les yeux au ciel en se disant que c'était la chaleur qui lui tapait trop fort sur la tête.

      En temps normal il aurait persévéré mais la soif lui avait fait passer cette envie de réfléchir c'est pourquoi Sean s'était rendu chez lui pour se détendre. Demain, Lundi, boulot, il devait se reposer, rien d'autre.
      Un jour, qui s'annonçait des plus normal, Will avait décidé à la sortie de son travail d'aller rendre visite à Appoline qu'il n'avait pas vu depuis une bonne semaine, chose rare, fallait dire qu'elle avait du mal à couper le cordon avec son enfant, même si lui n'avait jamais trouvé l'envie de l'appeler ' Maman ' elle le nommait son 'fils' bien qu'il n'aimait pas qu'elle emploie ce terme il n'en disait rien, par pure politesse. En y pendant Appoline aurait put le foutre à la porte mais non, elle l'avait gardé, pour l'élever comme il se devait. Tout le monde à sa chance. disait-elle souvent. Sean était arrivé chez Appoline avec un bandage à la main. D'abord légèrement inquiête, celle-ci lui s'était empressée de lui demander ce qu'il avait. Lorsque le pansement laissa place à un poignet presque déchiqueté, ce ne fut pas la blessure qui terrorisa la VAMPIRE mais bel et bien l'odeur du sang de son enfant. Ses pupilles se dilatèrent lentement.

      « Tu vas bien ? » avait-il lancé bêtement.
      « Je... Oui. Sean recule d'un pas, s'il te plait. Cache ton poignet. Cours ! »


      Mais il n'avait pas trouvé bon de le faire. Les deux choses dont Sean devait se souvenir ultèrieurement furent : cette journée où il avait conclut - Appoline n'est pas humaine et bien sur cette odeur qu'il avait sentit la première nuit où il avait couché dans cette maison. Il y avait des chances pour qu'il se souvienne de cette conversation mais si peu pour qu'il prenne en compte cette odeur de sang. Il était jeune, traumatisé par la mort de son père, ce sang, celà ne pouvait être que le fruit de son imagination. N'est-ce pas ? Et pourtant... Et pourtant ça ne l'était pas. « Recule ! » sa voix avait été plus agressive que d'habitude ce qui avait surpris le jeune homme. « Mais... » Il n'eu pas le temps de bouger un pouce que déjà, accrochée à son cou, Appoline le vidait lentement de son sang. Peu à peu Sean sentait ses veines se contracter, se vider et son poids devenait de plus en plus léger. Son coeur battait à toute vitesse, à la recherche de sang pour s'oxygéner. Une douleur innexplicable. Sa vie défila lentement devant ses yeux, comme au cinéma. C'était donc celà ' voir défiler sa vie avant de mourir ' celà lui décrocha un frisson de tourment et enfin son corps tomba au sol. Appoline se rendit alors compte de ce qu'elle avait fait c'est pourquoi en chemin elle avait eu une vision de sa frimousse lorsqu'il était encore qu'un gamin. C'était son fils, le sien, son enfant, sa perle, sa puce, le p'tiot, elle pouvait pas le faire mourir comme celà. C'est pourquoi en ce jour d'été elle avait fait de lui un vampire.


      Auto-évaluation; J'aime bien ce texte bon aprés je ne suis pas vraiment un as de l'écriture si on compte les fautes et tout le reste... Mais je suis là pour progresser, non ?
      Un de vos poèmes; facultatif
      Nature; ( rien, quatrin, sonnet ..) ceci va avec le poème.
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    GreenLeek


    GreenLeek
      ✝ Polymnie ;
      amer et illusoire.

    Féminin Balance Rat

    Age : 28
    Sarcastique.
    Messages : 139

    PUF : GreenLeek.
    Crédits : Faith, Obsession27.



    Sucrette ♣ _
    MessageSujet: Re: Sucrette ♣   Sucrette ♣ Icon_minitimeSam 10 Juil - 12:58

      Bienvenue. ^^
      Je t'attribue le niveau Oxymore.
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    https://euphemism.forumactif.com
     

    Sucrette ♣

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